Ligaments croisés
Ligaments croisés
L’articulation du grasset du chien est semblable à celle du genou de l’homme.
Le ligament croisé crânial se situe dans l’articulation du genou et en assure la stabilité.
Une des fonctions les plus importantes du ligament croisé crânial est d’empêcher les mouvements d’avant en arrière du tibia par rapport au fémur.
La rupture du ligament croisé crânial est un des motifs de consultation les plus courants en orthopédie vétérinaire.
Cette affection se rencontre chez des chiens de toutes races et de tous âges.
Cette rupture se fait plus souvent de manière progressive qu’à la suite d’un traumatisme unique. La plupart des chiens chez qui la rupture du ligament survient avaient des prédispositions à cette pathologie : que ce soit une dégénérescence du ligament due à l’âge, une inflammation pré-existante, une malformation anatomique ou une pente tibiale trop prononcée.
Les premiers signes cliniques sont de la boiterie et une raideur du membre. Au fur et à mesure que le ligament se déchire, la boiterie est de plus en plus prononcée. Lorsque la rupture devient totale, le membre est en suppression d’appui, puis avec le temps le chien arrive à réutiliser sa patte. Cependant, la boiterie ne disparaît pratiquement jamais sans intervention chirurgicale chez les chiens de grandes races.
La rupture des ligaments croisés des deux pattes est assez fréquente. On l’observe chez 1 chien sur 3.
La première étape consiste en l’exploration de l’articulation du genou afin de retirer les débris de ligament rompu et examiner les ménisques.
On réalise ensuite une section du tibia afin de corriger la pente et la ramener à une valeur inférieure à 10 degrés. Une plaque et des vis permettent le maintien du montage le temps de la cicatrisation osseuse.
Un excès d’exercice durant la convalescence peut fragiliser le montage et nécessiter une reprise chirurgicale.
Bien que rare, une fracture de la partie fine de la crête tibiale peut survenir également, mais celle-ci n’affecte pas le pronostic final avec une bonne prise en charge.
Une atteinte méniscale peut être observée, nécessitant une réintervention. Mais cette lésion se rencontre moins fréquemment après une TPLO qu’après une des autres techniques.
La TPLO permet
Une récupération plus rapide
Une meilleure amplitude des mouvements de l’articulation
De limiter le développement d’arthrose
Un retour à une activité sportive ou de travail
La TPLO est une chirurgie exigeante qui ne doit être réalisée que par un chirurgien expérimenté qui la pratique régulièrement
Le ligament croisé crânial se situe dans l’articulation du genou et en assure la stabilité.
Une des fonctions les plus importantes du ligament croisé crânial est d’empêcher les mouvements d’avant en arrière du tibia par rapport au fémur.
La rupture du ligament croisé crânial est un des motifs de consultation les plus courants en orthopédie vétérinaire.
Cette affection se rencontre chez des chiens de toutes races et de tous âges.
Cette rupture se fait plus souvent de manière progressive qu’à la suite d’un traumatisme unique. La plupart des chiens chez qui la rupture du ligament survient avaient des prédispositions à cette pathologie : que ce soit une dégénérescence du ligament due à l’âge, une inflammation pré-existante, une malformation anatomique ou une pente tibiale trop prononcée.
Les premiers signes cliniques sont de la boiterie et une raideur du membre. Au fur et à mesure que le ligament se déchire, la boiterie est de plus en plus prononcée. Lorsque la rupture devient totale, le membre est en suppression d’appui, puis avec le temps le chien arrive à réutiliser sa patte. Cependant, la boiterie ne disparaît pratiquement jamais sans intervention chirurgicale chez les chiens de grandes races.
La rupture des ligaments croisés des deux pattes est assez fréquente. On l’observe chez 1 chien sur 3.
La première étape consiste en l’exploration de l’articulation du genou afin de retirer les débris de ligament rompu et examiner les ménisques.
On réalise ensuite une section du tibia afin de corriger la pente et la ramener à une valeur inférieure à 10 degrés. Une plaque et des vis permettent le maintien du montage le temps de la cicatrisation osseuse.
Un excès d’exercice durant la convalescence peut fragiliser le montage et nécessiter une reprise chirurgicale.
Bien que rare, une fracture de la partie fine de la crête tibiale peut survenir également, mais celle-ci n’affecte pas le pronostic final avec une bonne prise en charge.
Une atteinte méniscale peut être observée, nécessitant une réintervention. Mais cette lésion se rencontre moins fréquemment après une TPLO qu’après une des autres techniques.
La TPLO permet
Une récupération plus rapide
Une meilleure amplitude des mouvements de l’articulation
De limiter le développement d’arthrose
Un retour à une activité sportive ou de travail
La TPLO est une chirurgie exigeante qui ne doit être réalisée que par un chirurgien expérimenté qui la pratique régulièrement